mardi 18 mars 2008

Filmographie Histoire et cinéma québécois



ÉTIENNE BRÛLÉ GIBIER DE POTENCE - Melburn E. Turner 1952



couleurs, 16mm, 97 minutes. Société de production : Carillon productions, scénario : Jean Downing, , producteur : Mel Turner, interprétation : Paul Dupuis, Ginette Letondal, Jacques Auger, Guy Hoffman, Paulette DeGuise

Un aventurier se voit confier par Samuel de Champlain la mission d'apprendre la langue et les moeurs des Hurons. Etienne Brûlé devient l'ami des Indiens. Par ses erreurs, il fait perdre la ville de Quebec qui tombe aux mains des Anglais. Déclaré traître, il retourne parmi les Hurons.



LES BRULÉS - Bernard Devlin 1959



16 mm, noir et blanc, 94 minutes. Société de product
ion : L’Office National du Film du Canada, scénario : Bernard Devlin, images : Georges Dufaux, montage : Raymond Le Boursier, son : Michel Belaieff, interprétation : Félix Leclerc, Rolland Bédrad, J. Léo Gagnon, Georges Bouvier, Roland d’Amour, Aimé Major, René Caron, Jean Lajeunesse, Georges Toupin. Budget : 144 000 $ Can.

Les Brûlés est un film produit par l’ONF et réalisé par Bernard Devlin en 1959 à partir la mini-série de huit épisodes pour la télévision de Radio-Canada et diffusée à compter du 15 novembre 1957. Le film est tiré du réc
it de Hervé Biron : Nuages sur les brûlés. Le film a été traduit en anglais sous le titre : The promised land.
En 1933, un groupe de colons vient en Abitibi pour y défriche
r la terre et y fonder une paroisse. Le chansonnier Félix Leclerc est présent, en chanson, à chaque moment dramatique de l’intrigue. Pendant trois ans de labeurs, les colons vont prendre la mesure de la solidarité communautaire essentielle à leur survie face aux règles de la colonisation, avec les plans de construction à tirer et les conseils sur la façon de cultiver. Dans les relations sociales naissantes, avec l’implication du curé, ils vont être confrontés à des problèmes comme l’alcoolisme, l’endettement, les prêts usuraires et l’analphabétisme. Dans leurs loisirs, la chanson, la danse et le folklore québécois auront une grande place.


IL ÉTAIT UNE GUERRE - Louis Portugais 1959



16 mm, noir et blanc, 94 minutes. Société de production : L’Office National du Film du Canada, scénario : Réginald Boisvert, images : Georges Dufaux, montage : Victor Jobin, Gilles Groulx, son : Claude pelletier, interprétationPaul BervalRené CaronMariette DuvalVictor DésyJ.-Léo GagnonYvon LerouxHélène LoiselleAimé MajorLucie PoitrasJean-Claude RobillardGinette LetondalLionel Villeneuve, Guy L'écuyer.

Il était une guerre s'ouvre sur  la fameuse course au mariage de milliers de jeunes gens voulant échapper à la conscription, puis les problèmes du travail dans les «usines de guerre», la campagne d'Italie, en 1943, et enfin le retour au pays où l'adaptation à la vie civile cause bien des déboires. Ces épisodes sont vus à travers la vie d'un jeune homme.


LE FESTIN DES MORTS - Fernand Dansereau 1965



16 et 35 mm, noir et blanc, 79 minutes. Société de production : L’Office National du Film du Canada, scénario : Alec Pelletier, images : Georges Dufaux, montage : Fernand Dansereau, son : Marcel Carrière, producteur : André Belleau, interprétation : Jean-Guy Sabourin, Alain Cuny, Hubert Loiselle, Jacques Godin, Jean-Louis Millette, Yves Létourneau, Monique Mercure. Budget : 185 000 $ Can. Tournage : En août 1964 et quelques scènes l'hiver suivant, à Mascouche.

En 1638, la famine et les maladies commencent à décimer le village huron de Sainte-Marie. Les Indiens en mettent la faute sur les missionnaires jésuites partageant leur vie et décident de les sacrifier. Deux personnages se détachent : le père Jean de Brébeuf, colosse moral et physique dont la conception de l’évangélisation implique une parfaite adaptation aux besoins du pays et qui participe activement à la vie du village et tout à l’opposé, un jeune père qui vit une expérience spirituelle hermétique, constamment nostalgique de son pays natal. Durant ce qu'il pense être sa dernière nuit, le jeune jésuite revoit plusieurs événements de son passé chez les Indiens: leur arrivée il y a 5 ans en compagnie de Champlain, un supplice de prisonnier iroquois, des scènes de leur vie ordina
ire dans le village… De retour au présent, il exprime des doutes sur la foi, sur l'existence de Dieu.


SAINT-DENIS DANS LE TEMPS - Marcel Carrière 1969



16 et 35 mm, couleurs, 84 minutes. Société de production : L’Office National du Film du Canada, scénario : Marcel Carrière et Gilles Thérien, images : Bernard Gosselin et Thomas Vamos, montage : Werner Nold, son : Claude Hazanavicius, producteur : Robert Forget, interprétation : Donovan Carter, Gilles-Philippe Delorme, Jackson Quirk, Marie-Claire Nolin. Budget : 147 480 $ Can. Tournage : du 4 novembre au 13 décembre 1968, à Saint-Denis, Montréal et à Québec.

Gilles et Marie-Claire s’en vont à Saint-Denis sur Richelieu pour fêter l’anniversaire de la célèbre bataille de Saint-Denis, unique victoire d’une rébellion malheureuse en 1837. Mais l’amour des protagonistes s’exprime volontiers par d’acerbes discussions politiques. Marie-Claire, l’idéaliste révolutionnaire, ne refuse pas la violence politique pour arriver à ses fins. Gilles, le pragmatique d’esprit bourgeois, tire plutôt sur sa pipe. C’est à travers le système ambiant que, selon lui, il faut agir.
A Saint-Denis sur Richelieu, une manifestation indépendantiste et révolutionnaire s’ébranle. Défilé scandé, discours incendiaires, slogans agressifs : des orateurs politiques prennent l’histoire à témoin des revendications d’un certain Québec actuel. Entre temps, l’histoire remue dans son tombeau. Il neige, il gèle : nous sommes aussi en 1837. Des soldats réguliers de l’armée britannique marchent sur Saint-Denis avec leurs canons, commandés par un vétéran de Waterloo : ils viennent arrêter des chefs patriotes réfugiés là. Mais à Saint-Denis, les Patriotes ont résolu de résister, contre toute logique. Ils s’arment de tout ce qui leur tombe sous la main : bâtons, fourches, vieux fusils, et attendent le pire. Surprise : après une journée de durs combats, la colère populaire a raison des forces de l’Ordre. Les Habits rouges battent en retraite, laissant des dizaines de morts sur le terrain.



LES MAUDITS SAUVAGES - Jean-Pierre Lefebvre 1971



35 mm, couleurs, 106 minutes, Société de production : Cinak Ltée, scénario : Jean-Pierre Lefebvre, images : Jean-Claude Labrecque, montage : Marguerite Duparc, son : Claude Lefebvre, producteur: Laurence Paré, interprétation : Jean Beaudin, Pierre Blackburn, André Leduc, Marcel Sabourin, Jacques Thisdale, Roger Garceau, Annick de Bellefeuille.

En 1670, dans son village de naissance, Tekakouita est vendue par son peuple à un coureur des bois et trafiquant, Thomas Hébert. Celui-ci la ramène chez lui, en 1970, dans une petite maison de banlieue. La suite du film alterne les rencontres avec des figures symboliques : un abbé, Jeanne Mance , Jean Talon . A la fin, Thomas Hébert retourne au village des Iroquois, mais le camp est désert. Seul l’Abbé s’y trouve encore et Hébert le tue.



LES ORDRES - Michel Brault 1974



couleurs et noir et blanc, 108 minutes. Société de production : Les productions Prisma Inc., scénario : Michel Brault, images : Michel Brault et François Protat, montage : Yves Dion, son : Serge Beauchemin, producteur : Bernard Lalonde, interprétation : Hélène Loiselle, Jean Lapointe, Guy Provost, Claude Gauthier, Sophie Clément. Budget : 250 000 $ Can. Tournage : du 31 octobre au 15 décembre 1974. Sortie : 27 septembre 1974. Présentation au festival de Cannes/Sortie à Paris : mai 1975.

Au matin du 16 octobre 1970, quelques heures après la proclamation de la loi des mesures de guerre, 450 personnes sont arrêtées à leur domicile, sans le moindre chef d’accusation, et incarcérées pour des périodes variables. Parmi elles, Marie et Clermont Boudreau, un couple dans la quarantaine, vivant dans un quartier ouvrier de la ville, Jean-Marie Beauchemin, docteur et propriétaire d’une clinique, Claude Dussault, jeune assistante sociale et Richard Lavoie, chômeur, père de deux enfants. Les méthodes de répression développées lors de leur incarcération cherchent à humilier et à désincarner ces hommes et ces femmes que nous suivons jusqu’à leur sortie.



PARTIS POUR LA GLOIRE - Clément Perron 1975



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6 et 35 mm, couleurs, 102 minutes. Société de production : L’Office National du Film du Canada, scénario : Clément Perron, images : Georges Dufaux, montage : Pierre Lemelin, son : Joseph Champagne, producteur : Marc Beaudet, interprétation : Serge L’Italien, Rachel Cailhier, Jacques Thisdale, André Melançon, Yolande Roy, jean-Marie Lemieux. Budget : 360 000$ Can. Tournage : août et septembre 1974 à Beauceville, Saint-Victor-de-Beauce et Saint-Martin-De-Beauce. Sortie : 17 octobre 1975.

Le 15 août 1942, le gouvernement canadien décrète la mobilisation générale à la guerre. Dans plusieurs endroits du pays, on tente de résister et de s’opposer à la conscription. Dans une petite région du Québec, la Beauce, cette opposition est très forte. En effet, 99 % de la population dit « non » à la mobilisation. Les habitants ne veulent pas aller faire la guerre « l’autre bord ». Les méthodes pour fuir cette obligation militaire sont nombreuses : mariages hâtifs, études universitaires, vocations soudaines, désertions. Mais le pouvoir militaire représenté par le lieutenant Laroche combat cette résistance par tous les moyens : la loi, l’autorité, l’arrogance, le chantage, les arrangements astucieux.



QUELQUES ARPENTS DE NEIGE - Denis Héroux 1976


35 mm, couleurs, 94 minutes. Société de production : Cinevideo, scénario : Marcel Lefebvre et Gilles Elie, images : Bernard Chentrier, montage : Yves Langlois et Mélanie Gelman, son : Joseph Champagne, producteur : Claude Héroux, interprétation : Christine Olivier, Daniel Pilon, Jean Duceppe, Frédéric de Pasquale, Mylène Demongeot. Budget : 600 000 $ Can. Tournage : février 1972.

1837. Le mécontentement des Canadiens-français à l’égard de l’administration britannique est à son comble. Les Patriotes tentent désespérément de secouer le joug de la métropole anglaise. C’est la révolution. C’est à cette époque que Simon de Bellefeuille choisit de réintégrer la maison familiale, confisquée par les autorités et vendue à un riche homme d’affaires anglais : Sir Whitman qui emploie désormais tous les habitants de son village dans une entreprise de coupe de glace. Les habitants se préparent à lutter sous la direction de Victor, un ardent révolutionnaire. Laura, la maîtresse de Simon, tente en vain de l’entraîner dans le mouvement patriotique. C’est dans ce contexte que Simon redécouvre Julie, fille d’un riche manufacturier d’étoffes de Montréal, devenue une très belle femme. Une série d’évènements dramatiques précipiteront Simon dans le mouvement insurrectionnel. Julie, faite prisonnière par l’armée anglaise, ne survivra pas à toutes ces épreuves. Simon parviendra à se réfugier du côté américain de la frontière et décidera de se donner la mort en observant une dernière fois ces « quelques arpents de neige ».


LES TISSERANDS DU POUVOIR - Claude Fournier 1988


couleurs. Société de production : L’Acpav, scénario : Claude Fournier et Michel Cournot, images : John Berrie, producteurs : Marie-José Raymond et rené Malo, interprétation : Gratien Gelinas, Michel Forget, Juliette Huot, Gabrielle Lazure, Dominique MichelBudget : 7 000 000 $ Can.

Partie 1: Au début du siècle, une famille pauvre, les Lambert, quitte sa ferme au Québec afin de trouver une vie meilleure dans les usines textiles de la Nouvelle-Angleterre. Au meme moment, Jacques Roussel, héritier d’une riche dynastie de tisserandsdu nord de la France, s’exile lui aussi en Nouvelle-Angleterre pour y diriger une filiale américaine. Les destins de Jacques Roussel et de la famille Lambert se croiseront inexorablement et créeront des conflits. Le vieux Jean-Baptiste Lambert raconte sa vie à un jeune reporter alors qu’il est assiégé par la police dans l’usine désaffectée des Roussel.
Partie 2: La révolte. Le vieux Jean-Baptiste Lambert évoque ses souvenirs de jeunesse alors qu’il soutient un siege de la police dans les ateliers désaffectés des tisseries Roussel au Rhode Island. Il se rapelle qu’en 1920, son père Valmore a conduit une bruyante manifestation des ouvriers d’origine québécoise contre les exigencies de leurs patrons français. Sa soeur Madeleine a pourtant attire l’attention du directeur Jacques Roussel, qui lui a payé des etudes pour faire d’elle par la suite sa maîtresse puis sa seconde épouse. Valmor de son côté s’était engage dans une lutte contre l’évêque irlandais qui voulait imposer l’anglais dans les écoles paroissiales, lutte qui allait le conduire au meurtre puis au suicide.


BLACK ROBE - Bruce Beresford 1991



couleurs, 100 minutes. Société de production : Samuel Goldwyn Co. (Australie), Samson prod (Australie) et Alliance Communications (Québec) scénario : Brian Moore, images : Peter James, montage : Tim Wellburn, son : Gary Wilkins, producteurs : Robert Lantos, Stephane Reichel, Sue Milliken, interprétation : Lothaire Bluteau, Aden Young, Sandrine Holt, Tantoo Cardinal.

Le Père Laforge, missionnaire jésuite, se rend au Canada afin d’évangéliser les amérindiens. Mais les amérindiens ont leur propre spiritualité et se méfient des missionnaires. Le père Laforge entraîne un groupe d’algonquins à le suivre le long de la rivière du Saint-Laurent.



OCTOBRE - Pierre Falardeau 1994



couleurs, 97 minutes. Société de production : L’Acpav, scénario : Pierre Falardeau et Francis Simard, images : Alain Dostie, montage : Michel Arcand, son : Jacques Drouin, producteurs : Marc Daigle et Bernadette Payeur, interprétation : Hugo Dubé, Luc Picard, Pierre Rivard, Denis Trudel, Serge Houde. Budget : 2 000 000 $ Can. Sortie : 7 octobre 1994.

Le 10 octobre 1970, quatre militants du Front de libération du Québec enlèvent le ministre du Travail et de l'Immigration Pierre Laporte. Une semaine plus tard, la police retrouve le corps de l'otage dans le coffre arrière de la voiture ayant servi à l'enlèvement. Que s'est-il passé au juste pendant cette semaine fatidique ? D'heure en heure, le film reconstitue les événements en détaillant les faits et gestes de cinq hommes, réfugiés dans une maison de la rue Armstrong, en banlieue de Montréal.



LE SORT DE L'AMÉRIQUE - Jacques Godbout 1996



couleurs et N/B, 90 minutes. Société de production : Office National du Film, scénario : René-Daniel Dubois, Jacques Godbout, images : Jean-Pierre Lachapelle, montage : Monique Fortier, son : Richard Besse, producteur : Eric Michel, interprétation : Andrew Wolfe-Burroughs, Georges Savarin de Marestan

Après la bataille des plaines d'Abraham, le 13 septembre 1759, le monde ne sera plus jamais le même. Tout pays est fondé sur un mythe, le Canada est né de cette guerre entre la France et l'Angleterre où les deux généraux qui s'affrontaient, le marquis de Montcalm et James Wolfe, sont morts de leurs blessures.



QUAND JE SERAI PARTI… VOUS VIVREZ ENCORE - Michel Brault 1999



Couleurs, 120 minutes. Société de production : Nanouk Films, scénario : Michel Brault, images : Sylvain Brault, montage : Daniel Arié, son : Sylvain Arsenault et Daniel A. Vermette, producteurs : Anouk Brault et Claudio Luca, interprétation : Francis Reddy, David Boutin, Pierre Lebeau, Philippe Lambert, Claude Gauthier, Micheline Lanctôt, Paul Hébert. Budget : 4 000 000 $ Can. Sortie : 12 mars 1999.

Le film se déroule en 1838, en plein coeur du conflit entre les habitants français du Bas-Canada et les occupants anglais. À l'automne de la même année, François-Xavier Bouchard et plusieurs de ses compatriotes sont capturés. Jugés par un tribunal militaire, 12 Patriotes sont pendus devant la porte de la prison, sous les yeux horrifiés de leurs compagnons. Pendant plusieurs mois, des dizaines d'autres Patriotes, eux aussi condamnés à mort, attendent dans l'angoisse une exécution qui ne viendra jamais. François-Xavier et ses compagnons sont finalement exilés aux Bermudes avant d’être libérés.



15 FÉVRIER 1839 - Pierre Falardeau 2000




Couleurs, 120 minutes. Société de production : L’Acpav, scénario : Pierre Falardeau, images : Alain Dostie, montage : Claude Palardy, son : Serge Beauchemin, producteur: Bernadette Payeur, interprétation : Luc Picard, Sylvie Drapeau, Frédéric Gilles, Pierre Rivard, Mario Bard, Yvon Barette, Denis Trudel, Luc Proulx, Stéphane F. Jacques, Benoît Dagenais. Budget : 3 100 000 $ Can. Sortie : 16 février 2001.

Au lendemain de l'insurrection de 1837, huit cents Patriotes sont enfermés à la prison de Montréal. Parmi eux, une centaine de condamnés à mort. Au petit matin du 14 Février 1839, Marie-Thomas de Lorimier et Charles Hindelang ainsi que trois cents de leurs compagnons apprennent qu'ils seront pendus le lendemain. Le film raconte les dernières vingt-quatre heures des deux hommes, leurs doutes, leurs peurs, leurs espoirs.



NOUVELLE-FRANCE - Jean Beaudin 2004



Couleurs, 145 minutes, Canada - Royaume-Uni – France, Société de production : Christal Films, scénario : Pierre Billon, images : Louis De Rensted, montage : Jean-François Bergeron, son : Claude La Haye, producteur: Richard Goudreau, interprétation : Noémie Godin-Vigneau, David La Haye, Juliette Gosselin, Sébastien Huberdeau, Gérard Depardieu, Bianca Gervais, Irène Jacob, Pierre Lebeau, Vincent Perez. Budget : 33 000 000 $ Can. Sortie : 19 novembre 2004.

Au milieu du XVIIIe siècle, la France abandonne peu à peu le Canada. Marie-Loup Carignan, une jeune paysanne du Bas-Saint-Laurent, rencontre François Le Gardeur, un aventurier de retour au Canada après avoir étudié à Paris. Chacun de leur côté, les deux protagonistes essaient d’empêcher le déclin de la Nouvelle-France. Séparés par le cours des évènements, les deux amants opposeront leur amour aux tumultes de l’Histoire, jusqu’à la mort de Marie-Loup, miroir de celle de la Nouvelle-France.




1 commentaire:

Anonyme a dit…

Bravo pour ce blog très complet et très instructif. Si vos lecteurs souhaitent avoir un plus d'information sur le cinéma québécois, je leur propose ce site personnel: http://filmsquebec.centerblog.net